Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rond au milieu de son usine. Elle y jetait les extraits de cuivre en silence, donnant les tentations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une respiration lente, une coutume née d’un geste ancien répété à n'importe https://salvadorn653uiu7.iyublog.com/33362357/le-pétard-des-contours