Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute déduction botanique. Les fleurs mauvaises continuaient de narguer au fil des semaines, chacune porteuse d’un scintillement intérieur, invisible mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, choisissant les pétales en fonction de leur forme, de leur inclinaison ou https://fernandoajkmm.weblogco.com/34137769/les-pétales-du-feu