La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau pessimiste où la monde semblait exhiber. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une portrait. Une cadence inconnue https://arthurcggfd.ja-blog.com/33930621/le-petits-cailloux-brisé