Le manoir se dressait, obligeant, au milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les voies envahies par les ronces, une structure de cristal et métallique résistait encore au saisons : une serre oubliée, occulte à la suite un mur de végétation sauvage. https://griffinrtsqm.nizarblog.com/33933918/la-date-figée