Les soi glissent sur le clavier. Le regard oscille entre la fenêtre du message et le vide de l’écran. L’air est mou, à malheur constant. Une tension dissimulée dans la nuque. Rien d’urgent, mais une charge que le vacarme ne dissout pas. Le cœur bat librement, mais avec une visibilité https://gunnericula.bcbloggers.com/35193004/voyance-par-email-ce-qu-elle-permet-véritablement-ce-qu-elle-n-a-pas-la-possibilité-de-pas-offrir