Il y a des instants où l’on ne aspire à plus prononcer. Pas par doute ni par préoccupation, mais parce que les informations, à vitesse d’avoir subsisté dits, ne revêtent plus. Il solde à ce moment-là l’écriture, plus lente, plus discrète, moins exposée. Et cela vient couramment par ce subterfuge https://jeffreycpzip.blogproducer.com/43263252/cabinet-de-médium-olivier